Accompagnement de nos organisations aux usages du numérique

Les différentes équipes Greta (Lorraine, Paris, Créteil, Bourgogne) ont entamé une réflexion sur l’accompagnement des organisations aux usages du numérique et du développement de l’innovation pédagogique. C’est l’occasion d’entamer un travail en commun en mutualisant les démarches. 

Les prochaines semaines d’Itypa sont consacrées aux pratiques collaboratives et aux communautés de pratiques. Le thème fédérateur de transition numérique est l’occasion de mettre en pratique les apprentissages de ces dernières semaines.

La transition numérique, c’est le développement d’une culture numérique dans l’organisation. C’est la prise en compte de nouveaux business model. Enfin, c’est développer des démarches innovantes et agiles.

Pour faciliter ce travail d’exploration, nous vous proposons une démarche collective que chacun adaptera en fonction de ses besoins. Les documents de travail seront ouverts dans un premier temps exclusivement au personnel #Greta participant à #Itypa.

Deux outils pour collaborer et une démarche 

La carte réalisé par l’équipe de Nancy accompagnement de nos organisations dans les usages du numérique servira de point de départ à nos réflexions. les différents participants pourront enrichir une version privée de la carte. Nous aurons également un framapad pour agréger les travaux des uns et des autres.

Voici la démarche proposée :

  • faire un état des lieux

C’est une réflexion sur le niveau d’usage numérique de votre établissement et de ses besoins. Vous pouvez faire cela sous forme d’un petit texte de quelques lignes sur le framapad. Si des attentes ou besoins sont clairement exprimés, n’hésitez pas à enrichir la carte.

  • Veille et benchmark

Il serait intéressant de mettre en place une veille collaborative sur les thématiques choisies en ciblant des méthodes et des retours d’expérience. Vous pouvez indiquer vos mots clés et découvertes sur le framapad.

  • Brainstorming

échanger et poser vos idées sur la carte et/ou sur le framapad.

  • Pistes d’actions

Vision méta ou opérationnelle, les pistes d’actions forment une boite à idées qui au final pourra prendre la forme d’une feuille de route

Confiance et collaboration 

Nous serons une dizaine de contributeurs. Chaque groupe contribuera en des temps différents. L’objectif n’est pas d’entasser des ressources ou des idées mais réellement d’enrichir les premières contributions par vos réflexions. C’est-à-dire de compléter les contributions, corriger les fautes d’orthographe, proposer de nouvelles pistes.

 

Partage et infusion : transition digitale

L’intervention de Jacques Cool m’a permis de retrouver les écrits et synthèses de Michel Cartier. Ses réflexions – ainsi que celles de Jon Husband – m’ont nourri en 2005 / 2006 avec un premier site : Constellation W. Le site étant en permanence remis à jour, la lecture est toujours surprise. L’objet de ce site ? Faire une synthèse des changements en cours et la mettre dans une perspective historique. Gageure ? Allez sur le second site Le XXIeme siècle, il pose question.

Litératie et culture de l’image

Au travers de six billets, Bruno Devauchelle décrypte le socle commun au travers du numérique et de ses composants.  Et de commencer par les langages pour penser et communiquer : « Le numérique a introduit une nouvelle médiation par rapport au réel : je regarde (et interagis avec) le monde aux travers de certaines technologies. » Le prisme de la pensée évolue et questionne notre prisme de formation initiale. Notre grille de pensée s’est forgé au travers d’autres humanités. Quels impacts des technologies dans notre façon de pensée le monde ?

Pendant la conférence de @zecool, @Stephlulu propose un lien sur la litératie numérique telle qu’elle définit le centre canadien d’éducation aux médias et de la litératie numérique. De quelles compétences parle t’on ? « La littératie numérique chapeaute une multitude de compétences transversales traditionnellement associées aux littératies suivantes : médiatique, technologique, informative, visuelle, de la communication et sociale. »

litteratie-numerique

Au travers Itypa, c’est aborder la litératie numérique qui englobe une réalité historique ancienne : l’invention du langage, de  l’écriture, de l’imprimerie, de la radio, de la TV qui se retrouve dans les technologies. Les digital humanities ne font pas table rase du passé. Elles s’appuient, au contraire, sur l’ensemble des paradigmes, savoir-faire et connaissances propres à ces disciplines, tout en mobilisant les outils et les perspectives singulières du champ du numérique. C’est ce que propose Milad Doueihi dans Pour un humanisme numérique (2011).

Si l’Internet 1 a connecté ensemble des ordinateurs, et l’Internet 2 des pages Web, le prochain Internet connectera, pour nous, les informations entre elles. Une culture de la connectivité va devenir essentielle explique Cartier et Husband. Pour rajouter un peu plus loin : Que va-t-il arriver quand, après 2020, la moitié des gens habitant la planète posséderont un téléphone ou une tablette smart ?

Ego numérique ou e-reputation  

Pendant l’atelier, nous avons abordé la publication par le biais de l’identité numérique. Pour ma part, je laisse principalement des traces professionnelles correspondant à mes centres d’intérêt. Le premier bénéfice est de pouvoir interagir avec une communauté diversifiée. Le second est d’avoir une certaine maitrise de mes traces permettant de façonner mon identité. Pour autant, je ne suis pas dupe. Si c’est gratuit, c’est moi le produit.

Demain, c’est déjà aujourd’hui. Les Big Data et les objets connectés envahissent notre quotidien. L’analyse des datas permettront (et permettent déjà) aux entreprises et aux Etats de nous connaitre intimement. Il n’est plus question de savoir si nous sommes dehors où dedans. La société de la surveillance se développe grands pas. De ces traces là, je n’ai aucune maitrise. 

La seule maitrise que j’ai, c’est de savoir publier, de pouvoir me rassembler en communautés et agir dans la société civile. Amusant, on en revient à une des compétences clés de litéracie numérique. Les logiques de co-construction et de collaboration ne se limitent pas aux réseaux. Mais les réseaux permettent d’amplifier des engagements ou des points de vue.

Transition digitale : un modèle social et économique perturbé

Les modèles économiques sont perturbés. D’une logique de stock, nous passons à une logique de flux où il devient nécessaire de répondre aux attentes des conso-acteurs en temps réels. Il faut également prendre en compte l’avis des utilisateurs pour créer de nouveaux services….

« Il y eu la transformation des librairies avec Amazon, celle de tout le secteur de la musique avec l’Itunes, celle de la télé avec Netflix et celle de l’hôtellerie avec AirBnB. Bien avant cela, le flipper a disparu au profit de la PlayStation. Elle disparaîtra à son tour engloutie par la WebTV. Voici que s’annonce à grands pas la transformation de la formation professionnelle. Le cybermonde continue son expansion sur la santé, les transports, la culture, l’éducation et la formation professionnelle. CQFD. » Voici l’introduction d’un post de Jean-Baptiste Audrerie intitulé : La transformation numérique de la formation professionnelle. Bref, le secteur risque de subir des transformations radicales.

Or, lors du dernier atelier Greta, Cécile Ximenes du DAFCO de Nancy a raconté son expérience Itypa et les réflexions en cours parmi les participants Itypa de Lorraine. Ils ont réalisé une carte pointant les chantiers à engager en interne :

  • acculturation numérique
  • nouvelle offre de formation
  • innovation pédagogique et usages pédagogiques numériques

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Cela recoupe la démarche proposée la semaine précédente dans l’atelier Greta de Créteil et Paris. Le constat est identique. Il faut y aller. Cela mérite pour autant réflexions.

Next Step : collaborer en réseau 

Les participants Greta de Bourgogne veulent rentrer dans la danse. Nous profitions de cette semaine consacrée à la collaboration pour passer à l’action et pour collaborer entre les territoires. En perspective carte mentale et framapad.

De l’ordre dans le désordre : veille et publication

Nous sommes un groupe de 8 participants mais il n’y a jamais plus de quatre participants par atelier. Ce ne sont jamais les mêmes. Pour autant, peu à peu, on se construit une culture digitale commune. Nous avons échanger sur la veille…. collaborative. Trois thèmes :

  • Objectif,
  • Processus,
  • Outils

Nous nous sommes servis de ce support pour avancer. Le projet de l’atelier a été de réfléchir comment mettre en oeuvre une veille collaborative. Nous n’avons pas vraiment eu le temps de passer à la pratique, mais on va faire cela la semaine prochaine puisque le collaboratif sera à l’honneur.

Culture digitale et transition digitale

La transition digitale est un le « buzz word » du moment. Ce mot valise indique simplement que désormais le numérique est partout dans l’entreprise (on enfonce une porte ouverte en disant cela) qui implique des transformations profondes dans l’organisation : management transversale, agilité, innovation, etc. L’une des raisons, le digital permet de travailler de façon transverse et collaborative.

Problème, cela impacte également le monde la formation continue. Les clients veulent des formats plus courts, plus interactifs, personnalisés, etc.  Il va falloir s’adapter également au contexte de la réforme de la formation. Christina Gierse conclut son article sur les COOC, outils d’avenir de la formation professionnelle : « Aussi diverses soient-elles dans leur approche, toutes ces technologies censées faciliter l’acte d’apprendre ont un point commun : elles impactent les méthodes d’apprentissage « Quand la formation se digitalise, les usages évoluent ! ». Avec une finalité qui demeure, elle, inchangée : mieux former les apprenants. »

Bref, on se pose la question suivante : comment accompagner une organisation comme un Greta à la transition digitale ? Comment passer d’une organisation en silos à une organisation apprenante transverse ? Pour répondre à cette question, mieux vaut réaliser une veille sur les expérimentations et démarches déjà entreprises. Et pour ça rien de mieux qu’une démarche collaborative. C’est que nous allons mettre en place dans les prochaines semaines.

La conversation a permis de clarifier l’objectif et des mots clés comme transition digitale, innovation, agilité, etc. Et vous comment voyez vous la transition en cours ?

La veille au fil de l’eau

Comme lors de chaque atelier, nous avons ouvert un pad pour prendre des notes. Nous avons décortiqué chaque étape de la veille :

  • définir un objectif
  • collecte
  • traitement et analyse
  • diffusion

Pour travailler, nous nous sommes inspirés du schéma de françois Guité effets des médias sociaux sur la mémorisation en plaçant l’écriture comme une étape dans le processus de veille et en utilisant les outils du moment : twitter, lecteur de flux, (Netvibes et feedly), outils de boockmarking social (Delicious, diigo, paerltree), outils de curation (Scoop.it, Paper.li, Fliboard) et prise de note avec Evernote.

shéma GuitéA la fin de l’atelier, tous les outils abordés au fil des semaines ont trouvé leur place. On avait réussi à mettre de l’ordre dans le désordre apparent du web. L’un des participants écrivit sur le pad la phrase suivante : « J’adore quand on retrouve un peu de cohérence et le dessein de l’architecte, c’est quand même mieux que de monter des murs avec des briques ( et des brocs) twitter, pad, mindomo etc… du coup l’espace temps outillage d’olivier disparait au profit de l’espace temps créatif. »

Et vous ? Pourquoi faite vous de la veille ?

 

Pourquoi Blogue t’on ?

On écrit d’abord pour soi, mais on écrit aussi pour être lu. Itypa est un formidable terrain de jeu pour publier des posts et avoir un premier lectorat. Cela permet d’engager la conversation. 

Dans le cadre des ateliers nous avons ouvert un blog de groupe. On a consacré un peut de temps aux bénéfices du blog dans un contexte de formation, puis nous avons présenté les règles pour écrire sur le web. Voici une synthèse.

Blog et connectivisme

Un blog en formation favorise l’approche réflexive. Clea permet de reformuler ce que l’on appris, de réfléchir sur ses apprentissages, d’aller plus loin et de se laisser aller à de la sérendipité. L’écriture est le meilleur moyen pour chercher une information qui rebondit d’idées en idées.

  • Les Twitclasses de CE1 et CE2 permettent aux élèves de construire des phrases, synthétiser la pensée…. Et de recevoir des feed-back de la part des lecteurs.
  • Les blogs de groupe permettent de confronter les idées et de comprendre que chaque participant entend un discours particulier, procède d’une démarche singulière.
  • Le blog personnel se construit au fur à mesure. On peut revenir dessus. On rentre dans une logique de ePortfolio. Pourquoi pas utiliser un blog dans le cadre d’une VAE !

Pourquoi choisir d’ouvrir son blog vers l’extérieur ? Pour les plus timides, pas d’inquiétudes. Avoir un lectorat est difficile. Le contexte Itypa est favorable. Chacun se nourrit de l’écrit de l’autre pour construire sa propre connaissance, opinion, réflexion. Si vous ne faite pas de publicité, il y aura fort à parier que vos lecteurs se compteront sur les doigts d’une main.

Le connectivisme, c’est  relier les communautés et les ressources d’information. Un blog est un point d’ancrage de cette communauté. A lire l’article de François Guité : comment les médias stimulent ma mémoire ? qui montre le lien entre réflexions personnelles, feed back des lecteurs et temps long. Parce que le blog est consacré au temps long (réflexion) par rapport à twitter qui est le média de l’instantanéité par excellence.

écrire pour le web 

J’ai présenté un support de formation que j’ai trouvé sur Slideshare. C’est une mine d’inspiration. Pour l’occasion, voici deux supports différents sur le même sujet mais avec des approches différentes : l’une plus visuelle et l’autre plus textuelle.

Ce qu’il faut comprendre avant tout, c’est que votre premier lecteur reste google. Et plus votre référencement sera bon plus vous aurez de lecteurs. C’est la raison pour laquelle vous devez (si vous voulez être lu) informé vos communautés de votre dernier article sur vos réseaux sociaux favoris. C’est en ce sens où il faut comprendre que tous ces outils sont reliés entre eux dans un écosystème.
Et vous ? Comment bloguez vous ? Pourquoi ? Pour quels bénéfices ?

Du blog aux flux RSS : l’exploration continue

Atelier immersif ce mercredi avec beaucoup de découvertes et de plus en plus de questions. On nage ensemble. 🙂 mais les usages évoluent. Pour preuve le pad de prises de note se remplit. Trois sujets abordés :

  • recherche d’information et sérendipité
  • le blog en formation
  • introduction aux flux RSS

Voici le support de présentation. Il y a des liens dans les images pour aller plus loin (supports tirés de Slideshare et des ressources). Il suffit de cliquer sur les images.

Les échanges ayant été très riches, je vais rédiger plusieurs posts. Cela permettra d’aller plus loin dans chacun des sujets.

Du post-it à la carte mentale : un EAP en construction

Le numérique s’utilise aussi en salle et ne se limite pas à une utilisation à distance. C’est de la formation augmentée. Il y a plein d’usages possibles en fonction des objectifs que l’on s’assigne.

A chaque atelier nous ouvrons désormais un pad pour prendre des notes collectives. C’est gratuit. Chaque participant a une couleur et cela permet d’appréhender rapidement les avantages du collaboratif. Les réflexions permettent d’enrichir ensuite les posts du blog.

Twitter va également servir pour faire remonter des informations et échanger sur nos pratiques en temps rééls. Les deux hashtags #itypa et #greta permettent de construire la communauté #greta.  Peu à peu le cercle devrait s’élargir aux participants Greta d’Itypa. Tout au moins, c’est ce que l’on espère.

Du Post-it à la carte mentale

Dans l’atelier, tout le monde n’avait pas vu l’intervention de Marco sur l’EAP. Alors on a repris la définition de wikipédia, puis travaillé sur ces questions :

  • Quelles sont les briques d’un EAP ?
  • Quels impacts dans la formation ?
  • Quel lien avec l’identité numérique ?
  • Quel apport dans les apprentissages ?
  • Comment intégrer l’EAP dans un parcours d’apprentissage ?
  • Une question d’outils ou une démarche personnelle ?

Pour avancer, nous avons construit une carte mentale collective à partir de post-it. Chacun apportait ses idées.

EAP Post it 2

On a rassemblé le tout pour construire une carte sur Mindomo. Elle est en cours de consolidation et correction. Puis chacun a construit son EAP sous forme de carte. Tout cela reste à l’état d’ébauche. Normal, la boite à outils est incomplète et les objectifs évoluent au fil du temps. Promis, elle sera publiée !!!

Perdre du temps ou investir sur le long terme

Les échanges entre les participants de l’atelier se sont concentrés sur le temps. S’investir dans ces outils demandent beaucoup de temps. Est ce un investissement ? Et quand faut il investir ?

Olivier Enderlin a consolidé quelques réflexions sur le pad du groupe. Voilà ce qu’il dit : « Nous venons d’avoir un bref échange sur l’impression de perte de temps ressentie quelquefois lorsqu’il est nécessaire de prendre en main un nouvel outil ou d’appréhender un nouvel environnement avant d’initier un travail collectif à distance. J’ai récemment initié un PAD pour écrire à plusieurs mains un programme de séminaire et nous avons eu cette difficulté.

Le problème c’est que prendre en main un nouvel outil sans en avoir une utilité immédiate ou proche est une perte de temps « parce qu’on a beaucoup d’autres choses à faire » et prendre en main un nouvel outil pour l’utiliser immédiatement est une perte de temps « parce que si on s’appelle et qu’on s’envoie des mails on ira aussi vite ».
Quelle stratégie pour initier l’investissement temps dans la collaboration à distance ?« 

Il a toujours un temps d’apprentissage avant que l’outil s’intègre à notre palette et devienne une routine d’usage. Cet investissement initial et le sentiment d’être débordé donnent le sentiment de perdre pied, de se noyer.  Le tweet humoristique de @lgheleyns est symptomatique : « comment se repérer dans la jungle de tweeter. Qui a pris ma machette ? »

La conversation se poursuit par quelques tweets. L’usage se développe en infusion. Et vous ? Vous vous sentez noyer ? Vous flottez ou vous êtes à la dérive ? Entrez dans la conversation et racontez nous vos expériences.

Twitter on #itypa

Pour commencer nous avons exploré Twitter, le site de microblogging. Ouverture d’un compte et explication du hashtag, des listes et autres. Pour aller plus loin, il y a des très bon tutoriels sur Youtube et slideshare. Vous avez l’embarras du choix. En voici un :

Nous avons publié quelques twetts et échanger sur les usages de Twitter en formation. Quelques idées échangées et puis on a été posé la question sur Twitter 🙂
« Quels usages de Twitter en pédagogie ? Si vous avez des exemples merci on est en pleines recherche « 
Les réponses sont tombées dans la minute suivante :
twitter formation
La force de twitter réside dans ses communautés. Pour la communauté #itypa par exemple, il est possible de toucher une centaine de participants. Mais chaque participant possède également des centaines, voire des milliers d’abonnés. On est donc face à une intelligence collective agile.
Voici le ressources pour aller plus loin dans l’usage du numérique en formation
la balise
les tweet-chat du mercredi : 
Comment travailler l’orthographe avec et twictées  ?
Et encore cette petite vidéo reçue sur ma TL Twitter
La seule limite est notre imagination. Et vous quelles sont vos recettes ?

Présence ou absence sur les réseaux

Ce premier atelier s’est déroulé dans les locaux des Greta à Créteil. Quatre participants et beaucoup de questions sur Itypa et la présence sur les réseaux sociaux.

Etre ou ne pas être sur les réseaux ?

Pour deux participants, il y a une certaine défiance d’aller sur les réseaux sociaux avec son vrai nom. Il y a un désir de bien séparer la sphère professionnelle de la sphère privé. Pourtant en se googolisant, l’un des participants a constaté les traces visibles de ses activités. Ce qui revient à démonter l’importance de l’identité numérique à double face. La première est subit. Google et les autres services du web analysent nos comportements, nos actes d’achat,etc. La seconde est l’identité construite. Et, il n’est pas obligatoirement nécessaire de le faire avec son vrai nom. L’identité numérique avec pseudo est une forme d’engagement comme les autres.

Les autres n’ont pas de stratégie de présence. Ce n’est pas réfléchi, orchestré ou analysé. Ils testent des services et les abandonnent au gré de leurs pérégrination sur le web. Itypa est une bonne occasion d’avoir une approche globale de cette stratégie de présence/absence.

Pour ma part, mon identité numérique est largement professionnel et décomplexé. Je tire d’avantages de bénéfices que d’inconvénients sur le web. Je sais qu’on m’espionne. Les publicités ciblées en sont la preuve. Mais la télévision fait la même chose en m’assommant de pub. J’ai beaucoup de contacts sur les réseaux. Je ne les connais pas tous, mais il est toujours surprenants de se rencontrer dans la vraie vie (ou IRL – in really life) en échangeant des tweets lors d’une manifestation. Je partage ma veille et ma production. Cela engage des conversations dans le quel je ne suis pas obligé d’aller.

Pour autant je ne saurai poser de jugement sur les modalités de présence dans les réseaux. Je crois que ça s’apprend comme beaucoup de choses. Y aller avec un avatar est sans doute une bonne première approche pour tester les usages et bénéfices, mais également limites.

Et vous ? Vous vous identifiez comment sur les réseaux ? Avec votre vrai nom ou derrière un avatar ? Pourquoi ?

lancement d’une communauté : #Greta #Itypa

Les réseaux sociaux ne sont qu’un moyen pour faire vivre la communauté. Nous en connaissons de nombreux : Twitter, facebook, google +, linkedin, Viadeo pour ne citer que les plus connus. Itypa est un bon exemple de communauté qui utilise ces outils en fonction de ses besoins et des envies de ses membres.

La difficulté reste à naviguer d’un espace à un autre, de repérer les membres et d’engager la conversation. Plusieurs acteurs des Greta se sont engagés dans le MOOC Itypa. En Lorraine, Ile-de-France, Bourgogne, les acteurs s’organisent en atelier pour pouvoir échanger sur leurs pratiques.

Et si on engageait une conversation avec les autres acteurs Greta engagés dans Itypa. Comment faire ? Comment les repérer ? Dans un premier temps, nous allons organiser les échanges sur Twitter en utilisant les hashtags #greta et #itypa. Un bon moyen d’utiliser cet outil et d’échanger à une large échelle…

A vos follows